Pouding chômeur de Robert Trottier
Mercredi 12 novembre 2008 | Par Robert Trottier
10 portions
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 50 minutes
Ingrédients :
Sirop
• 4 ½ tasses (1,125 L) de cassonade
• 2 ¼ tasses (560 ml) d'eau
• 5 c. à tab (75 ml) de beurre
Pâte
• 2 oeufs
• 1 tasse (250 ml) de sucre
• 2 c. à tab (30 ml) de beurre fondu
• 2 c. à thé (10 ml) d'essence de vanille
• 1 tasse (250 ml) de lait
• 1 pincée de sel
• 2 tasses (500 ml) de farine
• 2 c. à thé (10 ml) de poudre à pâte
Préparation :
Sirop
1. Préchauffer le four à 350°F (180°C).
2. Dans une casserole, mélanger la cassonade et l'eau et porter à ébullition. Cuire pendant 5 minutes, en brassant de temps à autre. Ajouter le beurre et mélanger. Réserver.
Pâte
1. Dans un bol, battre les œufs et le sucre à l'aide d'un batteur électrique. Ajouter le beurre, l'essence de vanille, le lait et le sel et mélanger. Ajouter graduellement la farine et la poudre à pâte. Battre jusqu'à l'obtention d'une consistance homogène.
2. Étendre la pâte uniformément dans un plat de 8 po x 12 po (20 cm x 30 cm) allant au four. Napper délicatement du sirop.
3. Cuire au centre du four pendant environ 40 minutes ou jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré au centre du pouding en ressorte propre.
D'où vient le pouding chômeur
1- Selon la légende : il aurait été inventé durant de la crise économique des années 30. C'est Georgette Falardeau, la femme du maire de Montréal, Camilien Houde, qui aurait inventé la recette, pour que les femmes des ouvriers touchés par les mises à pied puissent les réconforter avec une bonne dose de cassonade! D'où le nom: pouding chômeur, ou pouding au chômeur, selon l'humeur.
Le plat était composé d'ingrédients bon marché : farine, graisse, lait et cassonade et pas d'œufs, ça coûtait trop cher!
Il serait d'abord devenu extrêmement populaire dans les quartiers populaires de la métropole. Puis sa popularité aurait gagné tout le Québec, toutes classes confondues.
2- il viendrait des «cachettes» aux petits fruits. Un dessert populaire au temps de la Nouvelle-France, fait de fraises, de framboises et/ou des bleuets, dissimulés sous une sorte de gâteau blanc fait de la même façon que le pouding chômeur. Or, en hiver, il n'y avait pas de petits fruits. Et on les remplaçaient pas de la cassonade, moins chère que le sucre.
http://tva.canoe.ca/emissions/toutsimplementclodine/cuisine/30896.html
10 portions
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 50 minutes
Ingrédients :
Sirop
• 4 ½ tasses (1,125 L) de cassonade
• 2 ¼ tasses (560 ml) d'eau
• 5 c. à tab (75 ml) de beurre
Pâte
• 2 oeufs
• 1 tasse (250 ml) de sucre
• 2 c. à tab (30 ml) de beurre fondu
• 2 c. à thé (10 ml) d'essence de vanille
• 1 tasse (250 ml) de lait
• 1 pincée de sel
• 2 tasses (500 ml) de farine
• 2 c. à thé (10 ml) de poudre à pâte
Préparation :
Sirop
1. Préchauffer le four à 350°F (180°C).
2. Dans une casserole, mélanger la cassonade et l'eau et porter à ébullition. Cuire pendant 5 minutes, en brassant de temps à autre. Ajouter le beurre et mélanger. Réserver.
Pâte
1. Dans un bol, battre les œufs et le sucre à l'aide d'un batteur électrique. Ajouter le beurre, l'essence de vanille, le lait et le sel et mélanger. Ajouter graduellement la farine et la poudre à pâte. Battre jusqu'à l'obtention d'une consistance homogène.
2. Étendre la pâte uniformément dans un plat de 8 po x 12 po (20 cm x 30 cm) allant au four. Napper délicatement du sirop.
3. Cuire au centre du four pendant environ 40 minutes ou jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré au centre du pouding en ressorte propre.
D'où vient le pouding chômeur
1- Selon la légende : il aurait été inventé durant de la crise économique des années 30. C'est Georgette Falardeau, la femme du maire de Montréal, Camilien Houde, qui aurait inventé la recette, pour que les femmes des ouvriers touchés par les mises à pied puissent les réconforter avec une bonne dose de cassonade! D'où le nom: pouding chômeur, ou pouding au chômeur, selon l'humeur.
Le plat était composé d'ingrédients bon marché : farine, graisse, lait et cassonade et pas d'œufs, ça coûtait trop cher!
Il serait d'abord devenu extrêmement populaire dans les quartiers populaires de la métropole. Puis sa popularité aurait gagné tout le Québec, toutes classes confondues.
2- il viendrait des «cachettes» aux petits fruits. Un dessert populaire au temps de la Nouvelle-France, fait de fraises, de framboises et/ou des bleuets, dissimulés sous une sorte de gâteau blanc fait de la même façon que le pouding chômeur. Or, en hiver, il n'y avait pas de petits fruits. Et on les remplaçaient pas de la cassonade, moins chère que le sucre.
http://tva.canoe.ca/emissions/toutsimplementclodine/cuisine/30896.html
Source: Robert trottier
Recette
37028, publiée le
2008-11-14 à 22:01, 465 vues